« Tout, tout mais patois ! Le Compost Binde fait du blues en wallon Namurois. Paroles savoureuses et refrains épiques, leur album a fière allure. »
(l’Avenir)

« Revigorant comme une douche froide en plein été ou un grog bien chaud en plein hiver, le Compost Binde définit les limites de ce qu’on appelle déjà le rock agricole, un style qui hésite entre les Pogues et Big Bill Broonzy. »
(Mofo)

Et soyez en assurés, le Compost Binde ça décoiffe !
Décoiffant comme un vint d’bije, décapant comme un cocktail pékèt soude caustique !

Des morceaux qui déménagent sur des paroles qui déméningent ! Le délire est au rendez-vous.
Si vous avez la chance de les voir vivants (Live quoi) ne les ratez pas !

Le Binde peut compter sur l’expérience du bassiste luthier arrangeur (et arrangé) Jacky Marchal et de l’éclectique et talentueux violoniste mandoliniste… accordéonisse et caeterisse Philippe Luyten ; sur l’inconscience du bwerleu qu’on a pu vlu en Haiti telmin qui fieufe do bru et fiè peu aux nwèrs… Dominique Martin. Il peut compter aussi sur le cocorico du percussioniste-cuivreux qui vient du nord, Jan Breine, du magnétisme de l’autre cuivreux qui vient du sud, Damien Cadart et de la chorégraphie du batteur ex-countryïque (directeur d’icelle conseillé par super-Albert), Fabrice Pestiaux; sans oublier l’inspiration du brochet de La Plante à l’appendice saxophoniste indécollable, Benjamin Snoeck

Voilà y a pu qu’a choûter ou vnu les vîre.